What can that be but my apple-tree ? (String SEPTET)

23,00 38,00 

 

 

Cotage : LE – 3112

Formation : 3 Violons, 2 Alti, 2 Violoncelles

Nombre de pages : 46 pages

Format : B4 – Paysage

Commanditaire : Festival Nouveaux Horizons

Date de création : 12.11.2023

Lieu : France | Aix-en-Provence | Festival Nouveaux Horizons

Date de publication : 18.01.2024

Quantité :

Description

What can that be but my apple-tree ? (String SEPTET)

Création mondiale au Festival Nouveaux Horizons

RENAUD CAPUÇON, violon
ANNA GÖCKEL, violon
IRÈNE DUVAL, violon
GÉRARD CAUSSÉ, alto
SARA FERRÁNDEZ, alto
MAXIME QUENNESSON, violoncelle
IVAN KARIZNA, violoncelle


Sofia Avramidou a imaginé une suite de saynètes pour quatuor à cordes « What can that be but my apple-tree ? » inspirée du conte des frères Grimm, La jeune fille sans mains.

En 5 mouvements :
I. « Dear father, do with me what you will. I am your child. » :

La fille d’un meunier poursuivie par le diable, est sacrifiée par son propre père, en échange d’une promesse de richesses. Comme elle résiste, le diable demande au meunier de lui trancher les mains. Soumise, la jeune fille accepte le sacrifice : « Cher père, fais de moi ce que tu veux. Je suis ton enfant ».

II. « Are you a spirit or a human ?» :

La jeune fille, expulsée du domicile parental, cherche à échapper à la traque du diable. Épuisée et affamée, elle pénètre dans un jardin royal où elle vole une poire dans le verger. Tant le roi que le jardinier, hésitant à intervenir, se questionnent sur la nature de cette intruse, se demandant si elle est un esprit ou une simple humaine.

III. « Who messes with the letters ?» :

Après avoir découvert l’amour, la fille du meunier met au monde un enfant pendant l’absence de son époux, parti à la guerre. La correspondance entre les deux époux, initialement empreinte de déclarations d’amour, est subtilement substituée par le diable, qui insère des messages imprégnés de haine. L’un de ces faux messages prétend que le roi exige la mort de la reine et de son nouveau-né. Ce moment, le plus vif, est noté « dansant ».

IV. « Here all dwell free. »

La jeune fille, sacrifiée et trahie par sa propre famille, connaît une résurrection miraculeuse. Une entité intervient, permettant à ses mains de repousser. Ce même être divin la guide, avec son nouveau-né, vers une auberge où elle est chaleureusement accueillie et soignée.

Sur la façade de cette auberge est gravée la formule réconfortante : « Ici, tu peux vivre librement ».

V. « Our merciful god has caused my hands to grow up. » :

Le dernier mouvement marque le moment de la résurrection, où la protagoniste retrouve ses mains. C’est le dénouement heureux typique des contes de fées, mais il n’efface pas complètement l’amertume et la cruauté qu’a endurées la jeune femme.

Informations complémentaires

Poids1 kg
DimensionsND
Format

Papier, Digital (PDF), Matériel